Aujourd'hui nous avons un rendez-vous avec Ellen, l'héroïne de la saga Pharmakon Jazz Tango (et aussi principale meneuse des Râleuses sur ce même blog dans "Jungle").
— Alors vous vous apprêtez à la sortie du tome 9 (titre : Umami) de vos aventures ?
— Oui et j'en suis très heureuse. Il est un peu ancien car l'auteur l'a débuté en 2016 et il a pris le temps de rédiger deux épisodes sur le thème du fentanil et du carfentanil qui ont fait et font encore des ravages en Amérique du nord.
— Que racontent ces épisodes ?
— Le premier s'appelle L'arrière goût du délice et le titre est bien trouvé. Là, on peut dire que l'auteur m'a gâté car je suis exposée à la fois à des scènes positives (du côté plaisir), mais j'ai aussi droit à l'envers du décor.
— C'est à dire ?
— Je me fais enlever et maltraitée, mais je rencontre la jeune Mei avec qui je vais débuter une relation.
— Cela se passe où ?
— Je me déplace assez souvent : entre Washington, Hong-Kong, Shangai, Komatsu (au Japon) et retour à la maison.
— Et le second épisode ?
— Il fait la suite du premier, les différents protagonistes continuent à me manipuler mais je vais réagir pour mettre un terme à leur jeu de vilains. Dans cet épisode, je débute à San Francisco, puis retour à Washington et à nouveau San Francisco.
— Vous rencontrez de nouvelles personnes ?
— Oui et c'est souvent l'intérêt de mes voyages et péripéties. La principale personne est Mei, une jeune chinoise que j'apprécie beaucoup, il y a aussi Cliff, l'inspecteur de police de San Francisco, madame Zhao, l'espionne chinoise, monsieur Yu qui travaille dans les services secrets chinois. J'allais oublier Le père Lissano et aussi Tien Mu, un mauvais souvenir, car elle travaille avec Choi.
— Donc il va se passer bien des évènements dans ces deux épisodes.
— Sans dévoiler l'histoire, je dirais que l'intrigue est complexe et bien ficelée. Mais je m'en sors, c'est le principal. J'ai trouvé aussi que c'était bien écrit. Faut dire que l'auteur a mis le temps.
— Vous avez d'autres aventures en préparation ? — En préparation et en cours, effectivement. Je vais me promener à Paris, en Afrique et au Turkmenistan. Dire que je vais me promener est un euphémisme bien évidemment.
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